Un reptile demeure un animale sauvage, il ne sera jamais ami/ami avec vous, il faut donc rester prudent surtout quand on parle de reptiles potentiellement dangereux. En voici la preuve, même si dans ce cas-ci, il faut avouer que l'homme a quasiment couru après. Voici un copier/coller ( pour les paresseux qui ne clique pas sur les liens, lol) d'un article paru le 21 août dernier.
Dicko Toké, septuagénaire, chargé depuis plusieurs décennies de nourrir les caïmans, crocodiles, et autres alligators des lacs de Yamoussoukro sur la berge artificielle du lac principal près du palais présidentiel, a été dévoré, lundi, en fin d’après-midi, par ces reptiles, a constaté l’AIP sur place.
Comme de coutume, il est 17h lorsque ce vieil homme, ‘’ami’’ des reptiles des lacs de la capitale est allé s’acquitter de son devoir quotidien de les nourrir.
Mais des touristes, voulant des photos souvenir inédites et osées, demandent au septuagénaire d’aller plus près des reptiles pour des prises de vue, ce qu’il accepte, ignorant qu’il prenait ainsi rendez-vous avec la mort.
Après avoir offert le spectacle osé aux nombreux visiteurs locaux et touristes de jour férié, le vieil homme tentait de regagner le rive lorsque subitement, un des reptiles s’empare d’un bout de son boubou. Même s’il a plusieurs fois survécu à cette situation, ’’l’ami’’ des caïmans, se saisissant cette fois de sa machette pour se défaire de la prise du reptile menaçant, servira de festin en ce jour d’après Ramadan.
Ayant glissé dans sa tentative de se défaire de la bête, le vieux Dicko Toké, se retrouvera dans la gueule du plus colosse et plus anciens des caïmans affectueusement surnommé ‘’Le chef de cabinet’’ qui, au lieu de défendre son vieil ‘’ami’’, le trainera en eau profonde où lui et ses compagnons en firent leur festin sous les regards impuissants et hagards des nombreux visiteurs.
Toute la ville de Yamoussoukro est sous le choc, et les autorités politiques, de la police et de la gendarmerie nationale se sont rendues sur les lieux du drame avant d’aller en conclave dans la cour du palais présidentiel.
(Source: http://news.abidjan.net/h/439198.html )